Le blog de les kanaky's roulent

Coucou le monde,

Non non, nous ne vous avons pas oubliez mais voila !!! Les vacances sont belles et bien fini et, tout comme les enfants, la rentrée et tout le quotidien qui l’entoure, prend place dans notre vie d’autochtone. Et oui, on part en voyage pour faire connaissance des autochtone d’autre pays et maintenant c’est nous qui le devenons mais … ou sont les cyclistes pour venir nous demander de l’eau ou prendre le temps de discuter au détour d’une petite route de campagne ? Oh la la comme le printemps prochain est loin ! Mais cela vas nous laisser le temps de préparer nos envies J et pour aujourd’hui nous aimerions partager avec vous un mail que nous venons de recevoir. Bien sur nous en avons reçu beaucoup sur l’émission de zone interdite et aussi suite a la vente du livre mais celui la est le dernier et il est très touchant alors on le partage.  Nous vous souhaitons autant de projets que nous et que ceux-ci se réalisent.

A bientôt

Bonjour les Kanakys,
Je vous le dis franchement: ce matin, je me sens tout bizarre, comme s'il me manquait quelque chose, comme une nostalgie ("la nostalgie, c'est le sang qui coule de nos souvenirs"). Et je sais pourquoi . J'ai achevé cette nuit la lecture de votre livre, depuis quelques jours compagnon qui m'a tenu en haleine.
J'ai aimé son style, direct, spontané, profondément humain. C'est si rare, même dans les récits de voyage dont la plupart sont écrits au retour, sur base aseptisée de souvenirs et de quelques notes. Le vôtre a été écrit au jour le jour, avec vos émotions, vos élans et votre sensibilité.
Oui, j'ai aimé et vous félicite. Comme je comprends Eric avec lequel nous avons échangé quelques mots en Bretagne autour du thème "on ne revient jamais d'un tel voyage" !
Je vous renouvelle ma proposition antérieure totalement désintéressée. Si vous réeditez ce livre, je serai heureux de corriger les quelques fautes de frappe et d'orthographe qui subsistent.
Bravo et merci encore, courage pour affronter le morne quotidien jusqu'à votre prochain départ.
Bien amicalement, Marc.